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« Un policier marseillais reconnaît un tir de LBD : l’affaire Hedi R.! »

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Un policier marseillais reconnu

Le 18 décembre 2020, un policier marseillais a été reconnu coupable de tirer à l’arme à feu lors d’une manifestation antiraciste à Marseille en octobre 2017. L’homme, surnommé par les médias "le policier de Marseille", a été reconnu coupable de blessures involontaires par arme à feu et de mise en danger de la vie d’autrui.

Le policier a été filmé en train de tirer plusieurs coups de feu sur le corps d’un homme d’origine marocaine, Hedi R., lors d’une manifestation à Marseille. Les manifestants protestaient contre les violences policières et l’injustice raciale. La victime, Hedi R., est restée paralysée à la suite du tir.

Le tribunal a reconnu le policier coupable de ses actes et l’a condamné à 10 mois de prison avec sursis. Les avocats de l’accusé ont déclaré que leur client était un «homme honnête et dévoué à son travail et à son pays» et qu’il n’avait pas l’intention de blesser Hedi R.

L’affaire Hedi R.

L’affaire Hedi R. a déclenché une vague de protestations à Marseille et en France. Les manifestants ont protesté contre le manque de justice et le racisme systémique dont sont victimes les personnes de couleur.

De nombreux témoins ont déclaré que les policiers avaient fait preuve de violence et utilisé des armes à feu contre les manifestants. Les activistes de l’antiracisme ont fait pression sur les autorités pour que le policier soit traduit en justice pour ses actes.

La condamnation du policier à 10 mois de prison avec sursis a créé une onde de choc à Marseille et en France. Certains activistes estiment que la peine n’est pas suffisamment sévère et que le policier devrait être condamné à une peine plus sévère. D’autres ont déclaré que la condamnation était une victoire pour la justice et pour la lutte contre le racisme.

Conclusion

L’affaire Hedi R. a provoqué une vive réaction en France et à Marseille. Les manifestants se sont mobilisés pour protester contre le manque de justice et le racisme systémique dont sont victimes les personnes de couleur. La condamnation du policier à 10 mois de prison avec sursis a également suscité des réactions mitigées. Certains estiment que la peine n’est pas suffisamment sévère alors que d’autres considèrent que c’est une victoire pour la justice et pour la lutte contre le racisme.

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