OGM 2.0 : la Commission européenne relève le défi !
La Commission européenne vient de prendre une décision sans précédent : autoriser un type d’OGM 2.0 pour leur culture alimentaire. Cette décision remet en cause le principe de précaution, prôné depuis des années par l’Union Européenne. Cette mesure, qui fait la part belle à la science, est une réponse aux mutations des cultures alimentaires et à l’accroissement des populations qui en résultent.
Cette décision est néanmoins accompagnée de mesures de surveillance qui doivent être respectées par les états membres. Parmi elles, le droit des états à se prononcer sur l’utilisation de l’OGM 2.0 sur leur territoire et leur liberté de choisir des cultures alternatives.
La précaution jette l’éponge face à la science !
En autorisant ces OGM 2.0, la Commission européenne fait fi du principe de précaution. Il s’agit d’une nouvelle façon de regarder la science et ses applications. La recherche scientifique et les technologies qui en découlent sont considérées comme une possibilité et non plus comme une menace.
La Commission européenne cherche à encadrer ces nouvelles technologies pour en minimiser les potentiels risques. Des méthodes de traçabilité et de surveillance sont mises en place pour assurer le suivi des cultures. De plus, des organismes indépendants sont chargés de vérifier la sécurité des cultures et de prendre des mesures en cas de problème.
Les conséquences positives de cette décision
Cette décision pourrait avoir des effets positifs sur l’environnement et les cultures alimentaires. En effet, le recours à des cultures plus résistantes et plus productives pourrait permettre d’améliorer l’accès aux aliments dans des régions où la sécurité alimentaire est problématique. De plus, cette décision pourrait aussi contribuer à une meilleure utilisation des ressources naturelles et à une réduction de l’utilisation des pesticides.
Grâce à cette décision audacieuse de la Commission européenne, les OGM 2.0 sont désormais autorisés à être cultivés en Europe. La précaution a reculé pour laisser la place à la science et à ses promesses de progrès.