Il y a eu une victoire historique pour les catholiques intégristes français. La Cour européenne des droits de l’homme a statué que la dissolution de l’association Civitas était conforme à la loi.
Civitas était une association fondée par des catholiques intégristes qui, selon le procureur, cherchaient à « favoriser des mouvements radicaux et extrémistes ». Elle a été créée en 2002 et a atteint un grand nombre de membres dans le courant des années.
Cette décision a été saluée par de nombreux catholiques intégristes et la Cour a reconnu que la dissolution de Civitas était proporionnelle à ses actions et ne portait pas atteinte aux droits fondamentaux.
La Dissolution de Civitas
La Cour européenne des droits de l’homme a confirmé la dissolution de Civitas par le tribunal administratif de Paris en 2017. Le rapport du tribunal expliquait que l’association se consacrait à des activités « contraires aux valeurs essentielles du droit français » et était une « source de troubles intérieurs et de conflits ».
Les catholiques intégristes clamaient leur innocence et affirmaient que Civitas était une association légitime. Mais la cour a statué qu’ils ne pouvaient pas prouver leur bonne foi et que la dissolution était justifiée.
Le verdict de la Cour est une victoire importante pour les intégristes qui peuvent maintenant continuer à promouvoir leurs croyances sans crainte de poursuites judiciaires. Les autorités françaises ont maintenant le pouvoir d’empêcher les associations controversées de fonctionner.