La transat Jacques-Vabre, l’une des plus prestigieuses courses en solitaire à travers l’Atlantique, a été repoussée pour la deuxième fois cette année. Les navigateurs qui participent à cette épreuve attendent avec impatience le jour où ils pourront enfin prendre le départ.
La transat Jacques-Vabre, qui relie les villes de Le Havre en France et Salvador de Bahia au Brésil, a été initialement programmée pour un départ le 1er novembre mais a été repoussée à cause des préoccupations liées à la pandémie de COVID-19. Les organisateurs ont déclaré que le nouveau départ serait reporté au 8 novembre.
Cette course à travers l’océan Atlantique est l’un des plus grands défis pour les navigateurs. Cette année, le plateau de la course comprendra des centaines de marins venus du monde entier. Les participants à la course seront divisés en deux catégories – la classe Ultime et la classe Imoca. Les participants à la classe Ultime navigueront sur des bateaux de 60 pieds, tandis que les navigateurs de la classe Imoca navigueront sur des bateaux de 40 pieds.
L’attente se prolonge
La course de la Transat Jacques-Vabre a été reportée à plusieurs reprises au cours des derniers mois. Les organisateurs espéraient que la course pourrait avoir lieu comme prévu le 1er novembre. Cependant, les préoccupations liées à la COVID-19 ont forcé les organisateurs à reporter la date à plusieurs reprises.
Les navigateurs qui vont participer à la course sont impatients de prendre enfin le départ. Cependant, ils doivent patienter encore un peu plus longtemps. Les navigateurs se préparent à prendre la mer et à affronter des conditions météorologiques parfois difficiles. Ils sont sur le point de tenter un défi exceptionnel, et l’attente se prolonge.
Les navigateurs qui prendront part à la course sont confiants que le report de la Transat Jacques-Vabre ne remettra pas en cause leur préparation. Ils sont prêts et optimistes à l’idée de prendre le départ le 8 novembre et de se lancer dans l’aventure. Les règles de la course devraient être les mêmes que celles de l’année dernière et les organisateurs continuent à réfléchir à des moyens pour que la course se déroule dans les meilleures conditions possibles.