Le mécanisme de lutte contre le racisme et l’intolérance (DILCRAH) a récemment fait la Une des journaux français en enterrant un rapport qui dénonçait la discrimination basée sur la couleur de peau et la xénophobie dans le pays. C’est une nouvelle qui a accueilli une réponse à la fois triste et furieuse de la part de la communauté anti-raciste française.
Le rapport, qui a été réalisé par le secrétaire d’État aux droits de l’homme et à la justice, était basé sur des données recueillies par des sources diverses et variées, y compris des témoignages de victimes et de témoins de racisme et de xénophobie. Selon le rapport, les personnes d’origine étrangère sont souvent victimes de discrimination et d’intimidation, et leur contribution à la société est souvent ignorée et sous-estimée.
Malheureusement, la DILCRAH a choisi de ne pas publier le rapport, citant des «préoccupations légitimes» et le fait qu’il ne reflétait pas les «priorités actuelles». La décision a été accueillie avec tristesse par les membres de la communauté anti-raciste, qui estiment que le racisme et la xénophobie sont toujours une réalité en France et que cette décision va entraver leur lutte contre ces formes de discrimination.
Malgré cette triste nouvelle, les membres de la communauté anti-raciste française sont déterminés à continuer à se battre pour défendre les droits des personnes discriminées et marginalisées. Ils continueront à dénoncer le racisme et à faire entendre leur voix pour lutter contre ces maux. Par leurs actions, ils montrent qu’ils ne se laisseront pas réduire au silence par la DILCRAH et qu’ils continueront à se battre pour un monde plus juste et plus inclusif.