Les joueuses françaises s’insurgent
Une véritable vague de soutien s’est récemment formée sur les réseaux sociaux autour des joueuses d’échecs françaises, qui s’insurgent contre les violences sexistes et sexuelles dont elles sont victimes. Le mouvement a été lancé par deux championnes françaises : la Grand Maître Alina l’Ami et la Maître internationale Marie Sebag. Elles ont mis en lumière les abus dont elles font l’objet à l’échec, et leur appel est rapidement devenu virale sur la toile.
Contre les violences sexistes et sexuelles
Les joueuses d’échecs françaises s’insurgent contre les violences sexistes et sexuelles dont elles sont victimes dans leur discipline. Ces comportements inappropriés se manifestent sous de nombreuses formes, depuis le harcèlement moral jusqu’aux attouchements et aux insultes. Les joueuses rappellent que ces violences sont inacceptables et sont encouragées à porter plainte auprès des instances compétentes.
Le mouvement a suscité un large soutien sur les réseaux sociaux, dont celui de la fédération internationale d’échecs qui a affirmé sa détermination à combattre toute forme de harcèlement et de violences sexistes et sexuelles. Les fédérations nationales ont également promis de prendre des mesures pour lutter contre ce type de comportement, notamment en mettant en place des processus et des outils pour garantir que les plaintes sont traitées de manière appropriée.
Vers un avenir plus sûr
Dans le but de sécuriser l’environnement des joueuses d’échecs, les fédérations et les clubs prendront des mesures pour sensibiliser les joueurs à ces questions et renforceront les sanctions à l’encontre des auteurs de violences sexistes et sexuelles. Les joueuses d’échecs françaises espèrent ainsi parvenir à éradiquer ces violences, et à offrir aux joueuses un environnement sûr et équitable.